Il y a quelques mois, j'avais découvert l'existence de ce salon, un salon qui n'était pas encore vraiment définitif. J'ai donc suivi l'affaire de près, parce que vous imaginez bien qu'un salon centré sur l'imaginaire, avec déjà quelques annonces alléchantes d'auteurs et d'éditeurs, ça me bottait carrément.
Même si j'avais très envie de m'y rendre, un sérieux point négatif s'est rapidement présenté et ça sera mon seul reproche : le lieu même du salon. De là où j'habite, en voiture on met 10 minutes. N'étant pas véhiculé et n'ayant pas vraiment la possibilité qu'un proche m'y emmène, j'aurai dû compter sur les transports en commun et c'est une vraie galère. L'emplacement n'est pas pratique du tout. Je profite de ce billet pour remercier une nouvelle fois Alexielle qui m'a bien gentiment conduit à cette édition des Aventuriales, qui est blogueuse comme moi et avec qui je partage plusieurs sorties livresques depuis des années. Merci vraiment.
Nous nous y sommes rendus le samedi, on est arrivé un peu avant 13 h 30 et il y avait peu de monde. On a pu faire notre tour des stands tranquillement, au final on est passé de nombreuses fois devant chacun, pour faire un premier repérage. Le tour s'est fait rapidement, le salon n'étant pas grand, j'espère qu'il prendra de l'importance et qu'il s'agrandira avec le temps. On a mis du temps à craquer, mais on a, toutes les deux, fait pleurer notre porte-monnaie.