Arte, tome 13 de Kei Ohkubo

Auteur : Kei Ohkubo

Titre VO : Arte
Traduction : Melody Pages
Genre : Manga - Seinen
Edition : Komikku
Parution : le 10 juin 2021
Pages : 169 pages
Prix : 7.99 euros

Toujours déterminée à peindre un portrait qui satisfera les attentes d’Irene, qui se retrouve être la princesse de Castille, Arte décide de se livrer la première aux confidences et les deux jeunes femmes passent une nuit à discuter dans la pièce secrète. Au fil de ses souvenirs d’enfance, Arte se met à parler de choses qu’elle avait toujours cachées jusqu’à présent, notamment la raison qui l’a poussée à devenir artiste…

Je ne sais pas comment j'en arrive parfois souvent à étaler autant la lecture des tomes d'une même série, mais je crois qu'il y a des mystères qu'il ne vaut mieux pas chercher à résoudre.

Ce tome... Non mais ce tome, il a vraiment fait mal à mon petit cœur sensible. La couverture n'annonçait déjà pas un contenu des plus joyeux, mais au vu de la situation d'Arté dans les tomes précédents, il n'était pas étonnant qu'elle en arrive là. Si je n'ai pas été réellement surprise, même si je n'avais pas forcément tout anticipé, ça n'a pas du tout minimisé la peine ressentie à la lecture de ce treizième volume.

Une fois ce dernier refermé, je me suis posé beaucoup de questions, car avec ce nouveau virage, la donne change sur certains points. Je me demande notamment si on va revoir plusieurs visages, le contraire me paraîtrait étonnant, mais si ça se trouve... Mais je suis très curieuse de connaître l'évolution de l’histoire à ce niveau, ce qui ne sera pas spécialement pour tout de suite si c'est le cas. Si certains adieux s'avèrent définitifs, je ne suis pas sûre de m'en remettre. Wait and see en somme.

Ce tome n'est donc pas une mince affaire, Arté se retrouve dans une situation épineuse, une situation qui fort heureusement trouve une finalité. Je ne pense pas que j'aurais survécu à plus longue épreuve. Que ça se passe vite, c'est une bonne chose et la manière dont ça se déroule est aussi intense que plaisant. Arté n'est pas seule et la mangaka a plus que mis en avant cet élément. Au vu des enjeux, des ambitions et autres statuts de certains personnages, il fallait que les choses se passent calmement, sans faire de bruit et les rôles impliqués dedans nous en font voir de toutes les couleurs. Une certaine satisfaction est présente à la fin.

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Dans la même série :

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